le blog slaveforever

Voilà plus d’un an que je tente de persuader ma compagne de me dominer sexuellement. J’ai rédigé et signé un contrat d’appartenance, acheté une CB3000. Depuis un an, nous avons joué sur de courtes périodes (10 jours tout au plus) mais je sentais bien qu’elle faisait cela pour me faire plaisir et qu’elle ne s’investissait pas beaucoup dans le jeu. Je lui ai souvent expliqué que j’aurais aimé qu’elle soit plus sévère, intransigeante.

 

Dimanche soir, j’étais à l’apéro chez des amis, nous avons beaucoup bu et je suis rentré à 1H30 du matin dans un état lamentable. Elle m’attendait dans la cuisine, et elle m’a dit qu’elle en avait marre que je voulais être soumis et je n’étais même pas capable de penser à elle.

 

« Puisque c’est comme ça tu vas chercher ta cage et tu te l’enfile ! Après tu vas te coucher dans la chambre d’amis car je n’ai pas envie de t’avoir cette nuit avec moi »

 

J’ai obéis, lui ai donné les clefs et suis allé me coucher tout seul.

 

Lundi matin, au réveil, elle m’a rendu les clefs, elles étaient toutes les deux coupées en deux. Elle était encore très en colère et m’a expliqué que puisque je voulais porter une cage de chasteté et bien j’allais la porter et qu’il ne serait plus jamais question pour moi de la retirer. « Tu voulais que je joue à ton jeu et bien on va jouer au mien maintenant ! » Et pour bien me montrer qu’elle avait pensé à tout et qu’elle me tenait bien elle rajouta que si un jour il me prenait l’envie de couper le cadenas, premièrement elle me mettrait à la porte et qu’ensuite elle s’arrangerait pour faire circuler dans l’entreprise que je dirige, les photos prises lors de nos séances ainsi que le contrat que j’ai signé il y a un an.

 

Me voilà donc coincé, pris à mon propre piège. Je ne sais pas ce qu’il adviendra dans l’avenir. Quand je lui ai demandé si elle se rendait compte que cela signifiait pour moi la fin de ma vie sexuelle de mâle, elle m’a répondu que c’était mon problème, que cela ne lui faisait ni chaud ni froid du moment que ce n’était pas la fin de la sienne.