le blog slaveforever

Je me déplace souvent en voyages d'affaires a travers l'Europe.  Ma situation me permet d'emmener avec moi ma femme soumise.  La plupart du temps, je sélectionne des hôtels de taille moyenne, des deux étoiles ou trois étoiles, où il n'y a qu'un seul veilleur de nuit.  Chaque voyage est en effet l'occasion d'exhiber et d'humilier ma femme dans un hôtel.

Florence, ma femme, a 29 ans.  Elle est grande, mince, blonde aux cheveux courts, elle a le sexe rasé en permanen­ce. Je lui impose le port de minijupes très courtes et d'escar­pins.

Après le dîner, nous rentrons toujours tard à l'hôtel, a des heures où il n'y a plus qu'un veilleur de nuit pour nous ouvrir la porte.  Je discute avec lui et si je m'aperçois qu'il est attiré par ma femme alors je soulève la minijupe de Florence pour montrer son sexe rasé au veilleur de nuit.  Je la tripote, je lui mets un doigt dans le vagin et dans l'anus puis je propose au veilleur de faire la même chose.  Ensuite j'ordonne à Florence de se mettre a genoux derrière le comptoir d'accueil et de le sucer jusque ce qu'il éjacule dans son préservatif.  Ces petits jeux ne durent pas plus d'un quart d'heure mais ils m'excitent beaucoup et ils excitent aussi Florence.  Nous ne savons prati­quement jamais quelle tête aura le veilleur de nuit.

Il m'arrive aussi de choisir des hôtels plus luxueux.  J'attache Florence toute nue les quatre membres écartes sur le lit puis je descends au bar de l'hôtel et je discute avec des hommes.  Presque toujours, j'arrive à trouver un homme qui me suit dans notre chambre.  Je lui explique qu'il a dix minutes pour baisser son pantalon et se "vider" dans Florence ou sur Florence.  Parfois, je trouve deux ou trois hommes dans la soirée qui vont prendre Florence sur le lit.

J'ai aussi un autre jeu qui consiste à mettre une pince à linge pour "fermer" les deux petites lèvres de Florence.  La règle du jeu est simple, elle peut se faire retirer cette pince à linge par n'importe qui sauf elle et moi.  Alors, selon qu'il s’agisse d'un simple veilleur de nuit ou d'un client au bar, Florence a vite fait de perdre toute pudeur pour faire disparaître cette douleur qui tiraille son sexe.

Les humiliations que Florence subit dans les hôtels sont très atténuées car nous sommes toujours à l'étranger, nous sommes anonymes et nous sommes certains que ces exhibi­tions nocturnes n'auront aucune conséquence sur notre vie pri­vée.  Vous pouvez essayer, c'est très distrayant.

Sam 28 mar 2009 1 commentaire

Merci pour ce récit!

Je suis un soumis et je voudrais que votre soumise sache la chance qu'elle a!

J'aimerais tant trouver un maîtretel que vous (oui, je suis pluôt gay!)

Merci encore!

G.A.B. - le 28/05/2010 à 15h41