le blog slaveforever

Le mois dernier, je me suis disputé avec ma femme qui me reprochait de ne pas assez m'occuper d'elle. Elle est secrétaire de direction, très belle, toujours tirée à quatre épingles, et jamais fatiguée par son travail La dispute se termina tard dans la nuit, et j'ai été une fois de plus, incapable de la satisfaire, après cette dispute plus violente que d'habitude. Elle me dit alors qu'il existait des établissements spécialisés pour ce genre de déficience conjugale. Je restais penaud, et consentis d’essayer d'affronter cette épreuve. Je pensais surtout qu'elle ne trouverait jamais l'adresse d'une telle maison, persuadé que ça n'exister que dans sa tête. Puis un soir, sans me demander mon avis, elle accepta l'invitation de son patron à un dîner d'affaire avec d'autres hommes. Je la regardais se faire belle. Je n'avais jamais vu les dessous qu'elle mettait. Porte jarretelles, string, soutien-gorge balconnet, et par dessus tout ça un parfum, qui donne envie de violer la femme qui le porte. J’ai voulu lui en faire la réflexion, mais la réponse a était tellement cinglante, que même si j'avais bandé à ce moment là, elle ne risquait plus rien, j'étais rendu au point zéro. En partant, elle me demanda de me masturber en pensant à elle; qu'elle était bien décidée à se faire sauter plusieurs fois si elle en avait l'occasion. Puis avant de refermer la porte elle me cria : – Au fait, j’ai trouvé une adresse pour les maris impuissants dans ton genre à Paris, il faut que je te prenne rendez-vous ! Je restai comme un rond de frite, planté comme un idiot au, milieu du couloir. Une voiture démarra en trombe emportant celle pour qui j'avais tant d'amour. Elle ne revint que le lendemain, radieuse, rayonnante, sûre d'elle, avec un sourire qui voulait en dire long ! Deux jours plus tard elle avait un rendez-vous à Paris avec moi. Un véhicule nous attendait à la gare, l'homme me banda les yeux avant de reprendre sa place derrière le volant. Quand nous sommes arrivés, tout de suite je me suis retrouvé dans une grande salle où trois femmes m'attendaient, cravache à la main. – A poil, lopette, me crièrent-elles en même temps, et comme je restais éberlué, ma femme vint au centre de la pièce et me donna une paire de gifles en me demandant si j'étais sourd. – Aller, espèce d'impuissant, à poil, tu étais d'accord, non ? J'étais mort de honte devant ces femmes vêtues de panthère, cuissardes à talons aiguilles, elles avaient toutes le même air. On les aurait cru sorties tout droit d'une séance de dressage dans un cirque. Le claquement du fouet me fit jeter mes vêtements au sol en un tour de main, je n'en revenais pas moi-même. Aussitôt un collier en cuir m'enserra le cou, et deux autres les chevilles. L'une d'elle vint me tâter les testicules, et me les tordre au passage. Ce n'était pas des femmes, mais des monstres à qui ma femme m'abandonnait. Le matin dans le couloir qui mène aux douches, j'ai rencontré des hommes, qui comme moi marchaient à la laisse; sans un mot. Sous la douche et sous la flagellation qui l’accompagnait, je me suis mis à bander ; j'ai pensé que les résultats commençaient à se faire sentir, j'étais peut-être masochiste, il me fallait des coups pour me faire bander. Quelques jours plus tard ma femme vint en visite. Je suis arrivé devant elle en laisse, et en la voyant je me suis mis à bander comme un cerf, mais j'avais une surprise de taille qui m'attendait. Au milieu de la pièce il y avait un grand lit, j’ai cru que c'était pour nous deux, juste pour voir les résultats du traitement, en attendant que je rentre à la maison. Ma femme s'est installée sur le lit, entièrement nue, une femme est venue lui soulever les jambes pour les attacher aux anneaux qui pendaient. Juste en face de moi, je voyais sa chatte ouverte, offerte, je n'y tenais plus, mais celle qui me tenait en laisse n'avait aucune intention de me lâcher du lest. Une autre dompteuse arriva accompagnée d'un énorme noir qui marchait à quatre pattes à ses côtés, tel un chien bien dressé. Tout de suite j'ai vu le regard de ma femme s'enflammait, elle passait sa langue sur ses lèvres, et sa chatte s'est mise à mouiller. J'avais envie de foncer sur elle, mais une large ceinture de cuir me retenait accroché au mur, j'avais envie de fermer les yeux, mais je voulais voir, alors impuissant, malgré moi, j’allais devoir assister au spectacle ma femme jouissant avec un autre. Le noir est venu lui renifler les lèvres vaginales accompagné par sa dompteuse. Puis il s'est mit debout pour lui présenter sa bite, qu'elle s'est empressée de sucer langoureusement. Comme elle avait les jambes bien en l'air, je pouvais voir son clito qui avait des soubresauts. Puis sous un coup de laisse, il a compris qu'il fallait qu'il vienne prendre place entre les cuisses de mon épouse, oh combien consentante. Quand j'ai vu cet. énorme sexe noir qui la pénétrait, cette paire de couilles pendantes qui tamponnaient son anus, j'ai cru devenir fou. Ma femme hurlait de plaisir, j'entendais les clapotis de son sexe largement lubrifié, le noir s'en donnait à coeur joie. Je ne sais pas depuis combien de temps il n'avait pas baisé, mais apparemment il y avait certainement quelques semaines, car l'éjaculation ne s'est pas faite attendre, et ma femme est venue en même temps que lui, en lui criant “je t'aime ”. Puis mon tour est arrivé, j'allais être content du voyage, il m'a fallu aspirer tout le foutre du noir et celui de ma femme mélangé, j'ai eu un haut le coeur, puni d'un coup de cravache cinglant sur les reins. Je suis resté encore une semaine, puis de retour à la maison, je suis devenu le toutou sexuel de madame. Dès qu'elle parle. un peu fort je bande, on baise, et tout rentre dans l’ordre. Je suis devenu un étalon, car maintenant, pour se rembourser les frais du stage, elle me loue aux copines, et même au couples pour des soirées auxquelles elle participe largement, mais pas avec moi, la salope.
Jeu 11 jan 2007 Aucun commentaire