le blog slaveforever

Pour changer un peu, une petite histoire entre femmes ...

Agnès avait insisté pour que je lui rende visite. J'e l'aimais bien Agnès, sa beauté était envoûtante, mais il émanait d'elle une ambiguïté qu'on pouvait craindre malsaine. Tout de mème elle me fascinait comme le serpent fascine le petit oiseau. Et j'étais encore bien naïve!

Je me rendis donc chez mon amie. Nous étions seules dans sa jolie villa en compagnie d'une domestique vietnamienne, très belle et fine, au visage impassible : Vhin. Cette dernière nous servit un repas très fin, bien arrosé, trop pour moi qui ne bois d'ordinaire que de l'eau.

Après le champagne et le café, Agnès vint s'installer près de moi sur le divan et, aussitôt, ses mains furent sur moi, sur mes seins, sous ma robe, entre mes cuisses. Elle choisissait  bien son moment car je me sentais molle et chaude. Je ne lui offris qu'une résistance de principe, car je me rendais compte que contre elle je n'étais pas de force et que, ce qu'elle voulait me tentait plus que je n'osais l'avouer. Je n'étais plus vierge, n'avait point d'amant attitré et les hommes m'avaient déçue. Je ne savais pas encore que j'aimais les femmes. Ce que je n'ignorais pas par contre c'était mon tempérament docile et doux auquel correspondait l'autorité et la sévérité qui émanait
de mon amie.

Quand elle mit sa main dans ma culotte et caressa ma chatte, j'eus un faible sursaut et balbutiai :"non, il ne faut pas".
"Ici, dit Agnès,  tout ce que je veux il le faut. Et tu ne seras pas assez sotte pour me résister si c'est toi que je veux."

Je poussai un gémissement quand son doigt pénétra au fond  de mon con et commença de me masturber. Puis j'ouvris plus largement les cuisses, car c'était bon et mon clito frémissait.

"C'est bien, constata Agnès, ta chatte est brûlante, elle mouille et tu bandes."

Comme je refermais les cuisses, secouée par un orgasme violent, elle me gifla et dit : "Tu dois t'abandonner et ne faire que ce que je te dis. Tu vas ètre punie mais, ajouta-t-elle avec un sourire
cynique, je crois que tu appréciera la punition."

Elle sonna, et je compris qu'il s'agissait d'un guet-apens bien organisé,  quand Vhin apparut portant sur un plateau un objet redoutable que je reconnus avec effroi. Il s'agissait d'un godmiché comme j'avais eu l'occasion d'en voir sur des photos cochonnes. Il reproduisait très exactement une bite, mais était en latex et de dimension qui, étant donné le peu de connaissances que j'avais des organes génitaux des hommes, anormale.

Vhin s'approcha de moi et entreprit de me dévètir. Bien que plutôt fine et de petite taille, je me sais belle et ma nudité, lorsque la vietnamienne l'eut découverte, ne me fit pas honte.
Agnès ne dénuda d'elle-mème, que le bas de son corps sur lequel sa servante ajusta une sorte de harnais, la bite de caoutchouc durci. Ce fut elle encore - Vhin - qui me courba contre la table,
le haut de mon corps reposant sur celle-ci et mes fesses étant projetées en arrière vers le gland violacé du god dont Agnès menaçait mes fesses. Les doigts adroits de l'asiatique guidèrent la bite, écartant mes fesses, m'obligeant à ouvrir mes jambes en grand. Sans peine elle trouva l'entrée de mes petites lèvres et y engagea la pointe du gland. Me saisissant aux hanches, Agnès commença de forcer la gueule de ma petite chatte Je poussai un cri qui devint longue plainte, puis soupira quand, bien installée en mon con elle commença de le ramoner. Agnès retira son engin aussitôt que j'eus un orgasme et avertit : "Cela,  c'était par pure bonté de ma part. Maintenant je vais te donner la punition promise!".

Je poussai un véritable hurlement lorsque l'énorme engin força ma rosette et fut propulsé sans pitié dans mes intestins, déchirant mon sphincter et emplissant mon rectum vierge. La sensation
était affreuse, et je la perçus comme une punition sexuelle.
J'endurai cependant mon martyr. Et depuis ce jour, inoubliable pour moi, je l'endure presque chaque jour car Agnès est devenue ma maîtresse. Elle me baise, m'encule ou me fouette au grés de sa fantaisie. Vhin n'est jamais tenue à l'écart de nos réjouissances.
Parfois c'est elle qui me corrige ou m'encule. Moi j'ai le droit de  sucer leur chatte et leur anus et cela suffi à mon bonheur.
Mar 4 déc 2007 1 commentaire

Tes excitant comme debut d'histoire .

Male de 52 ans je recherche soumise lesbienne ,la Maitresse devra me faire STERILISER .

Epilation et circoncision ,cage de chastete Ok .

Ton Engrossement est souhaite par ETALONS pour Bebe Metisse .

Enfin ,j'aprecie les Chiennes piercees ,je recherche juste Maitresse m'offrant compane et mere .

Omaley - le 26/07/2010 à 14h32