le blog slaveforever

Son prénom est Kévin.  Il a vingt-cinq ans, mesure un mêtre quatre-vingt-cinq et pèse quatre-vingts kilos.  Sa chevelure était brune, mais je la lui ai fait raser afin de l'humilier, car frisée d'origine et abondante, elle était sa fierté.  Son corps est celui d'un éphèbe.  Sa queue est longue et fine, ses couilles dures et portées haut.  Il a très peu de poils mais un trou de cul étroit et élégant, qui doit donner des idées aux pédales.  Ses mains et ses pieds sont petits et fins. il est très désirable avec un cou long et gracile de jeune fille et des lèvres ventouses à faire des pompiers ou aspirer une chatte.

Tous les matins, il me répète que cette beauté m'appartient.  Il est nu le plus souvent, quelquefois je lui passe un collier de chien et l'emmène en promenade à la laisse comme un clébard.  Rien n'est plus charmant que de le voir marcher à quatre pattes sur le gravier de mon jardin, tortillant son croupion comme une chienne en chaleur qui jouerait les putes.

Je ne suis pas sa première Maitresse.  Même, il a commencé par un Maitre, qui lui a appris la soumission et lui a pris son pucelage anal.  Kévin m'obéit au doigt et à l'oeil.  Si je prononce son nom, si je lui fais signe de la main, si je le siffle, il accourt et s'agenouille a mes pieds.

C'est dans cette position que je le préfère. je l'appelle indifféremment «esclave», «chien», «vermine », «salaud», «minus», et j'en passe.  Quelquefois, Kévin.

J'ai tout simplement acheté mon esclave à sa précédente Maîtresse, qui en avait épuisé tous les plaisirs.  Je l'ai payé un bon prix, mais il les vaut.  Et puis j'ai de l'argent et j'étais trop paresseuse pour le dresser. Je lui ai fait signer un contrat le premier jour où il est entré dans ma maison.  Mais quelque chose de plus fort le lie a moi : l'amour passionné et la vénéra­tion qu'il me porte.  Par ce contrat il s'engageait à m'appartenir et a m'obéir en tout, et à vivre à mes pieds.  Il m'appartient aussi bien par la pensée que de tout son corps.  Et je compte pour rien sa queue que j'uti­lise plus souvent pour le faire souffrir que pour son plaisir.

Mon esclave m'appar­tient corps et ame.  Il obéit a tous mes ordres et caprices, et se tient toujours disponible pour travailler, recevoir le fouet ou offrir son cul. Je le bats chaque jour, ce qui est une moyenne raisonnable. Je le fesse, le suspends, l'humilie, le souille de mes déjections, écrase les mégots de mes cigarettes sur sa peau, la ou elle est la plus sensible.  Il m'arrive de l'enfermer dans le cachot que j'ai ménagé sous l'escalier, et dans lequel il n'a la place ni de se retourner ni de se mettre debout, ni de s'étendre.

Pour l'été, je lui ai acheté une niche tout confort, bien exposée au soleil et je l'attache auprès de celle-ci, de façon à ce qu'il puisse rentrer à l'intérieur, ou sortir si je l'y autorise ou le lui ordonne.  Dans ce cas, c'est pour l'attacher ailleurs, le suspendre et lui donner le fouet quand son corps est si bien étiré qu'il ne repose plus sur le sol que par la pointe des pieds.  Dans ces moments là, j'utilise une chambrière qui lui lacère conve­nablement le cul et je termine tou­jours de la même façon, quand je le sens prêt a entrer en transe.

Laissant pendre la mèche entre ses cuisses, au dessus de la barre d'écar­tement qui le maintient ouvert, je remonte en claquant, d'un souple mouvement du poignet, de façon a ce que la corde diabolique l'atteigne entre les cuisses, massacrant ses petites couilles et sa biroute, qui braque son gland violet avec arro­gance dans ma direction.

La correction se termine dans un hur­lement des plus agréable a mes oreilles. je dépends mon esclave et le mets au coin, exposant bien son joli cul écarlate.

Son cul, je m'en sers chaque soir. Auparavant je lui ai fait prendre une douche, et se laver sur le bidet a l'eau bouillante.  Il supporte très bien, jusqu'a ce que la peau de ses couilles soit aussi congestionnée qu'une tomate trop mûre.  Quand il revient et s'agenouille devant moi, je le pousse sur le lit. Il frissonne lorsque ma main remonte le long de sa cuisse et s'empare de sa jolie bite qui, instantanément, bande a mon contact. Je la malaxe un moment, puis je fais mettre mon esclave à quatre pattes, cul projeté vers moi, cuisses écartées, de façon a libérer son petit trou a merde.

Sa rosette est aussi jolie que la cra­quette d'une pucelle, elle palpite au centre des ridules qui l'environnent.  Kévin ferme les yeux quand je pose un doigt au centre de son anneau culier, et se cabre quand je I’encule de deux doigts joints. Je me garde de mouiller mes doigts pour faciliter l'opération.  Au contraire, j'aime que le passage soit serré, et que le muscle anal se referme sur les envahisseurs. Je branle Kévin au cul un moment, puis je prends un de mes godes, soit le plus gros, soit le plus long, soit celui qui est recourbé en tire-bou­chon comme la queue d'un verrat.  Je l'adapte au harnais dont je viens de ceindre ma taille et, pointant le gros gland au centre du puits d'amour, j'embroche mon esclave d'un puissant coup de reins qui pro­pulse le gode brutalement jusqu'au fond de ses intestins.  On ne s'habitue jamais a se faire défoncer la rondelle.  Le cul que j'enfile se cabre, et Kévin pousse ure longue plainte jusqu'à ce que la base des couilles en latex vienne s'écraser contre la margelle écarquillée à la limite de rupture.  Il ne cessera plus de gueuler pendant tout le temps que la grosse biroute le sodomisera.  J'aime à enculer mon esclave.  Quand je défonce son rec­tum et froisse ses tripes, je connais une incroyable sensation de toute puissance. je suis la Maîtresse et lui une merde.  C'est ce qui est bon, et me fait jouir.

Au moment ou cela vient, je passe une main entre ses cuisses et, saisis­sant ses petites couilles, je tords avec une telle violence, que le cri de mon esclave atteindra la note la plus grave, tandis que tout son corps se contractera entre mes mains, et que son sperme giclera entre mes doigts.

Mer 5 déc 2007 1 commentaire
belle description de l'enculage ,la main qui passe entre les cuisses
pour tordre les boules hummm j'adore!!!
fred - le 06/03/2008 à 09h33