le blog slaveforever
Tout a commencé il y a un an, quand je suis devenu étudiant. J'ai trouvé une petite chambre en ville, chez madame Gisèle, une femme d'une cinquantaine d'années. J'ai toujours été impressionné par les femmes autoritaires et avec madame Gisèle j'étais servi. Grande, forte, c'est une maîtresse femme, habituée à commander. Dès le début, elle m'a fustigé. Elle m'à imposé des horaires draconiens et m'a prévenu que j'avais intérêt à marcher droit, sinon elle saurait me mettre ou pas. Madame Gisèle a de l'expérience et elle a rapidement percé à jour ma nature de soumis.
Un soir, alors que je rentrais en retard elle s'est mise en colère, j'ai eu droit à une bonne engueulade et à deux paires de claques. Eprouvant une délicieuse sensation de plaisir et abomination, je me suis spontanément mis à genoux pour demander pardon. Avec un petit sourire sadique, madame Gisèle m'a ordonné de me déshabiller. Je me suis retrouvé à poil, allongé sur la banquette de piano. Elle m'a solidement attaché, et sentir les cordes me serrer m'a fait bander ! Tranquillement, madame Gisèle a retiré son chemisier, sa jupe et sa combinaison. Elle portait un bel ensemble gaine-bustier et des bas, le tout couleur chair. C'est vraiment une belle femme, et elle était très impressionnante, surtout vue de ma position. Elle a tourné un moment autour de moi, me mettant des claques et me promettant d'en baver. Je ne demandais que ça et je la dévorais des yeux. Pour commencer elle s'est placée à cheval au-dessus de ma tête et m'a dit de lécher entre ses cuisses. Se gaine n'était pas fermée, je voyais son épaisse fourrure noire avec au milieu le large et profond sillon de sa vulve. Elle s'est frottée sur ma figure et j'ai commencé à lécher, mais j'étais maladroit et j'ai reçu des coups de martinet sur le ventre et les cuisses. Je me suis appliqué, fouillant les replis de chair à petits coups de langue, avalant le jus qui coulait de plus en plus. J'étais très excité, avec une érection extraordinaire. Madame Gisèle a changé de position, elle s'est mise au-dessus de ma bite dressée sur laquelle elle s'est lentement empalée. Elle a commenté à monter et à descendre, lentement d'abord puis de plus en plus vite, jusqu'à nous faire jouir tous les deux. Quel pied ! Depuis madame Gisèle m'a complètement soumis, elle a fait de moi son jouet. Elle me donne son sexe à lécher, mais aussi ses opulentes mamelles el ses dessous de bras très poilus, quand je bande à en avoir mal elle s'empale sur mon sexe et m'impose son rythme. Elle me soumet aussi Par les gifles, le martinet, le ligotage, elle aime me punir et m'humilier, et moi j'en redemande, je désobéis exprès ! Il y a un mois, madame Gisèle m'a surpris en train de me branler (je l'avais fait exprès), elle s'est mise dans une colère terrible, j'ai pris des claques partout, elle m'a mis à poil, m'a planté une balayette dans le cul et m'a flanqué une raclée au martinet. Pour finir, je lui ai léché les pieds à travers ses bas. Quelques jours plus tard, elle m'a mis une ceinture de chasteté, une cage en plastique qui enferme étroitement et efficacement ma bite. Madame Gisèle me met cette ceinture la nuit ou quand elle veut me punir, je ne me branle plus, je garde tout pour elle, c'est encore meilleur. Si j'ai une humiliation supplémentaire car je suis obligé de pisser accroupi, comme une femme. Aujourd’hui madame Gisèle m'a mis la ceinture pour m'empêcher de me branler en écrivant ma lettre. Tout à l'heure quand elle va me délivrer, ma bite va se tendre comme un ressort, elle va me vider jusqu'à la dernière goutte après m'avoir corrigé et humilié. Je ramperai à ses pieds, heureux.