le blog slaveforever
Quelques jours plus tard je ne ris plus, Je tournai la clé dans la serrure de mon appartement quand je fus sauvagement agressé. Le jet d'une bombe paralysante me rendit sans force, on m'enfonça une sorte de cagoule sur la tête et je plongeai dans le noir, au propre et au figuré.
Quand je revins à moi j'étais toujours dans la nuit car on n'avait pas retiré ma cagoule. J'étais couché sur le sol, mes membres étaient si étroitement entravés, que les liens de cuir pénétraient ma chair. J'entendai parler mais la cagoule étouffant les bruits, je n'aurais sû reconnaître les voix, ni à quel sexe elles appartenaient. Une main tira sur mon zip. Ma bite fut extraite de mon pantalon, et une main en manchon commença de me caresser avec une parfaite connaissance de ce sport, ordinairement solitaire. Le silence s'était fait. Je savais qu'ils (elles?) étaient plusieurs à se repaître du plaisir que je prenais, contre mon gré. Bien que cela devenait de moins en moins vrai. Pourtant c'était comme si je subissais un viol. J’étais mal à l’aise, honteux, mais, indiciblement, le plaisir montait de mes reins à ma colonne que l’on agitait d'une main experte.
Une éjaculation violente me secoua. Mais à peine mes spasmes terminés, qu'une autre main, plus douce et adroite me sernbla-t-il, recommença le même travail. Cela demanda plus longtemps mais j’éjaculais tout de même avec une violence qui prouvait ma bonne santé. Las! j’étais encore secoué de spasmes qu’une nouvelle main prenait la relève de la seconde et agitait mon sexe avec une sorte de brutalité. Mon éjaculation, je pense que les lecteurs le comprendront, fut plus lente à venir. Mon plaisir fut à la limite de la douleur insupportable et je commençai de protester et de me débattre.
Des doigts pressèrent cruellement mes couilles repues. Puis cela se gâta. Une pointe d'acier piqua mes (faussement dénommées) joyeuses et j'entendis une voix (féminine?) m'annoncer que si je ne parvenais pas à bander on allait m'émasculer.
La peur me crispait les entrailles et cependant ces salopes (car il s'agissait de plusieurs femmes), j'en eus bientôt la preuve, multiplièrent les agaceries pour obtenir que je bande. Tour à tour des langues léchèrent mon gland, des doigts visitèrent mon rectum et des bouches onctueuses, se relayant, m'infligèrent des fellations sous lesquelles aucun moine n’aurait pû résister. Je bandais encore, la tête en feu et le crane vide. Je fus chevauché puis après quelques va et vient un autre sexe féminin plus chaud encore et étroit qui aurait emporté la décision Si, un autre, n’avait pris la place du second en enserrant mon sexe comme si il pouvait I’avaler.
Je jouissais comme un dingue, me répandant dans cet endroit inconnu mais tellement accueillant, mon corps, dans ses liens, s'arc-boutant et tressautant.
Je n'étais pas au bout de mon calvaire, je fus retourné, proprement déculotté et pus constater à la douleur qui me transperça que je n'avais pas affaire qu'à des femmes.
Je m'éveillai des heures plus tard, épuisé sur la moquette de mon appartement. J'étais seul. Mais sur le miroir de ma salle de bain on avait écrit au rouge à lèvres: « La vengeance est un plat que j’aime manger chaud !»
Depuis... je ne jouis plus que si on me violente, me tanne la peau, ou si l'on m'inflige différentes tortures, raffinées ou brutales.
Moi qui suis favorable à l'esclavage gynarchique et conjugal, je trouve dommage que votre Ex n'aie pas découvert le plaisir d'avoir un larbin et de lui en faire baver ... pas seulement pour se venger une fois ! Je suppose que vous auriez aimé non ?