le blog slaveforever

Depuis que Denis s'est installé chez nous, je suis en fait plus souvent avec lui qu’avec Claire.  Et je comprends enfin que lorsqu’elle m’a offert à lui pour son anniversaire, elle était sérieuse.  En effet, bien que restant sous sa coupe à elle, car c'est à elle que je suis soumis et c'est pour elle que j'obéis, c'est à lui que j'ai affaire, et c'est à ses ordres à lui que je dois me plier.

Nous passons donc, lui et moi, de longues soirées ensemble.  Il aime regarder la télé.  Généralement, il s'installe dans ce qui fut un jour mon fauteuil.  Il est nu, comme toujours lorsqu’il n'a pas à sortir.  Je suis nu également, ne portant pour tout vêtement qu’un porte-jarretelles et des bas de Nylon noir, agenouillé entre ses cuisses, les bras ramenés dans le dos, ligotés au niveau des coudes et des poignets.  Une fine cordelette relie mes chevilles à mes poignets, m'immobilisant totalement.  Souvent, un énorme godemiché dilate mon anus et plonge au plus profond de mes fesses.  La tête penchée sur le ventre de Denis, je suce sa queue tandis qu’il regarde un programme. il aime que cela dure long­temps (parfois la durée d'un film).  Je dois donc veiller à le main­tenir excité suffisamment, sans pour cela l'amener à l’orgasme.  Parfois, pourtant, c'est lui qui craque, devant une scène particu­lièrement croustillante, ou simplement si une de ses actrices favo­rites passe à l'écran.  Il m'agrippe alors par les cheveux et, m'imposant son propre rythme, m'enfile jusqu’à la garde pour mieux décharger dans ma bouche.  Tout cela en beuglant des 'Tiens, salope, prends ca !', qui ne s'adressent pas à moi, mais au fantasme qui s'anime dans la lumière bleutée du téléviseur.  D'autres fois, plus excité encore, il me bouscule, me retourne bru­talement et m'encule violemment, sauvagement - mais seules les grandes stars ont droit à cette démonstration.  Ainsi donc, il baise les plus belles femmes du monde.

Cette situation me laisse un goût amer dans la bouche.  Car enfin, voilà que je me suis soumis à une femme, et à une femme seule, étant hétéro.  Et voilà que cette femme semble me délaisser, me livrant à l'homme qui la saute pour lui servir de garage à bites.  Ma queue n'a plus servi de manière active depuis long­temps.  Moi qui aime les femmes, je ne connais plus la douceur d'un vagin, ni même celle d'une main aux ongles laqués de rouge.  Je ne connais plus que des étreintes brutales, des queues qui forcent mes lèvres ou mes fesses, je ne connais plus que de grands coups de reins qui me défoncent le cul ou la mâchoire.  Je suis devenu, de fait, une tapette, une Tapette, un défouloir à mâles en rut.  Car, une chose en entraînant une autre, Denis a fini par rameuter ses copains.

je plais en robe de dentelles ou tailleur Chanel.  Je plais en talons aiguilles, en guêpière, ou en caraco.  Tout vêtement mascu­lin m'est interdit.  Je suis paré comme beaucoup de femmes ne le seront jamais.  Ma garde-robe est des plus riches, des plus cha­toyantes.

Denis aime surtout mes bas.  Il aime me voir déambuler en porte-jarretelles, il aime caresser mes jambes, et sentir mes bas crisser, frotter contre sa peau.  Il aime voir ma bite pendre, entravée, ou bien libre, se dresser entre mes jarretelles.  Il aime me prendre à tout instant, quoi que je fasse, il aime me trousser et m'enfiler, peser sur moi et, parfois, tâter mes couilles pour mieux encore apprécier le fait de m'enculer.  "Tes bas sont plus doux que ceux d'une femme, car ils ont la douceur de l'interdit, me dit-il un jour.  Ton trou n'en est que meilleur.  Si tu n'avais pas ces robes, ces jupes, ces falbalas, je ne crois pas que je te toucherai.  Mais là, de te voir si maladroitement féminin en renforce le caractère, je croirais presque que tu es plus féminin qu’une femme, parce que, cette féminité, tu la gagnes au jour le jour car, quoi que tu fasses, ta bite est là, et bien là, qui dément tous tes efforts !"

Depuis ce jour, nos relations ont changé.  C'est ainsi qu’un soir Denis me tend son pied à lécher - je vois alors qu’il porte des bas.  "Eh bien, lèche ! dit-il, ne me dis pas que cela te gêne !'

il ôte son pantalon, et je remarque qu’il a mis un de mes porte-jarretelles, ainsi que des bas noirs, qui plaquent ses poils car il ne s'est pas rasé.  Il bande comme jamais (et pourtant, croyez-moi, c'est un étalon).  'Mets-toi à quatre pattes", me dit-il.  Sa voix est presque câline, je sens qu’il est troublé.  J'obéis et il me grimpe dessus.

Tondis qu’il cherche et trouve mon trou du cul et s'enfonce en moi, nos jambes se frôlent.  Un délicieux frisson électrique nous parcourt.  Nos bas frottent les uns contre les autres, et c'est comme si à chaque fois nous étions aiguillonnés par un dard - ce qui, en l'occurrence, est mon cas.  Comme ses bas sont doux sur les miens !

Comme c'est bon de sentir la caresse du Nylon ! Sa queue emplit tout mon cul, et jamais, je crois, elle n'a été aussi présente.  Chacun des crissements de nos bas semble la grandir encore un peu plus, vraiment elle grossit de plus en plus et mon anus s'ouvre, s'ouvre comme s'il voulait l'engloutir, lui, tout entier.  Il va et vient doucement entre mes fesses, et ce n'est qu’au terme d'une longue étreinte qu’il finit par décharger et m'inonder le cul de foutre.

Jeu 24 jan 2008 3 commentaires

quelle chance de vivre ainsi, mon rêve, qu'hélas je ne puis transformer...

herika - le 16/10/2013 à 14h07

oh oui c'est bon de se frotter nos bas l'un contre l'autre  même seul je porte des bas nylon  ,depuis un moment je porte aussi une cage de chasteté , c'est encore mieux  je bande rien qu'en me regardant   je vis en jupe et sans culotte car la sensation est tellement agréable  ,pour moi je ne porte plus que des vetements féminin et c'est trés bien 

murielletv

murielle tv - le 04/11/2013 à 07h17

Un doux rêve que j'espere devenir réel

homme soumis - le 31/01/2014 à 15h07