le blog slaveforever
J'ai senti avec un mouvement d'horreur qu'on m'ôtait ma jupe. Des mains retiraient ma culotte.
- N'a-t-il pas un cul magnifique?
C'était sa voix à lui.
- Dommage que ce soit une fiotte a dit une voix anonyme.
- Vous ne savez pas ce qui est bon. Son cul est comme l'enfer (toujours la voix de mon maitre qui faisait l'article pour mes aptitudes.)
Quelqu'un a saisi ma bite. Une main de femme, Les femmes sont toutes curieuses de ces choses. Elle a pressé mes couilles et branlotté ma petite pine. Aussitôt celle-ci a participé à mon humiliation en se dressant comme une baguette de tambour, La main ne m'a pas lâché, mais d'autres mains plus rudes m'ont contraint à me pencher vers l'avant jusqu'à ce que mes mains touchent l'épaisse moquette, et que je m'y appuie instinctivement afin de ne point basculer en avant, Un doigt a touché ma rosette que le mouvement écarquillait, s'est enfoncé dans mon rectum comme du beurre. La femme certainement couchée sous moi continuait de me branler. Puis, au moment où la queue d'un mâle a poussé au centre de mon anus, et que la grosse bite a commencé de m'envahir, des lèvres ont pris la place des doigts autour de ma pine. Tout à coup j'ai été bien, malgré mon humiliation ou à cause d'elle le cul empli, comblé, ma biroute baignant dans une salive onctueuse. J'ai commencé de jouir et cela a fait taire les rires des spectateurs. Avec une certaine angoisse, je me demandais où se tenait mon maitre, si c'était lui qui me sodomisait ou un inconnu? Le premier homme a déchargé dans mes reins alors que je connaissais un orgasme dont la bouche pompeuse aspirait et avalait le jaillissement crémeux. Déjà une autre bite prenait dans mon cul la place de la première. Il y en eut au moins six, Après je cessai de compter.
Puis je fus cruellement fouetté, sur mon cul coupable d'avoir absorbé toutes ces queues. Mais je savais qui me flagellait avec une violence rageuse. Mon Maître me punissait par où j'avais péché.