le blog slaveforever

Mon maître m'a or­donné de me vêtir avec élégance, J'ai mis mes dessous les plus sexys, de soie noire et de dentelles des bas fins et des escarpins aux talons démesurés.  Après avoir peigné avec soin ma longue che­velure blonde, je me suis maquillé.  Quand il est venu voir si j'étais prêt, je l'atten­dais, assis sagement sur le bord du lit. Il m'a demandé de me retourner et m'a placé sur les yeux un bandeau épais.  Puis il a attaché une laisse au collier de cuir clouté, qui ne me quitte pas. Ensuite il m’a tiré comme si j'étais une chienne et j'ai trébuché, me suis heurté au rebord de la porte, ai eu des difficultés à grimper dans la Jaguar. Nous avons roulé silencieuse­ment, traversant une bonne partie de la ca­pitale.  Le moteur s'est arrêté.  De nouveau il m'a fait descendre, monter trois marches, Une porte s'est ouver­te et j'ai été traîné dans une salle qui m’a parue vaste et au milieu d'une assem­blée assez nombreuse. J'ai entendu rire, des hommes et des femmes.  Une main s'est plaquée contre mes fesses.  Un doigt suivi ma raie et pointa mon petit trou au travers de l'étoffe soyeuse.  Plus tard une autre main, ce devait être celle d’une femme, car elle était douce et chargée de bagues, s'est glissée sous ma robe et a longuement caressé mes cuisses au dessus des bas.  J'ai fris­sonné et cela encore les a fait rire. Mon Dieu, ai-je pensé, comment le Maître auquel j'appartiens peut-il laisser faire cela ? J'ai réalisé alors qu'il m'avait amené là lui-même, et certainement en conaissance de cause.  Il ne fait rien sans calcul.

J'ai senti avec un mouvement d'horreur qu'on m'ôtait ma jupe.  Des mains retiraient ma culotte.

- N'a-t-il pas un cul magnifique?

C'était sa voix à lui.

- Dommage que ce soit une fiotte a dit une voix anonyme.

- Vous ne savez pas ce qui est bon.  Son cul est comme l'enfer (toujours la voix de mon maitre qui faisait l'article pour mes aptitudes.)

Quelqu'un a saisi ma bite.  Une main de femme, Les femmes sont toutes curieuses de ces choses.  Elle a pressé mes couilles et branlotté ma petite pine. Aussitôt celle-ci a participé à mon hu­miliation en se dres­sant comme une ba­guette de tambour, La main ne m'a pas lâ­ché, mais d'autres mains plus rudes m'ont contraint à me pencher vers l'avant jusqu'à ce que mes mains touchent l'épaisse moquette, et que je m'y appuie instinctivement afin de ne point basculer en avant, Un doigt a tou­ché ma rosette que le mouvement écarquillait, s'est enfoncé dans mon rec­tum comme du beur­re. La femme certai­nement couchée sous moi continuait de me branler.  Puis, au mo­ment où la queue d'un mâle a poussé au centre de mon anus, et que la grosse bite a commencé de m'envahir, des lèvres ont pris la place des doigts autour de ma pine.  Tout à coup j'ai été bien, malgré mon humiliation ou à cau­se d'elle le cul empli, comblé, ma biroute baignant dans une salive onctueuse.  J'ai commencé de jouir et cela a fait taire les rires des spectateurs.  Avec une certaine an­goisse, je me deman­dais où se tenait mon maitre, si c'était lui qui me sodomisait ou un inconnu?  Le premier homme a déchargé dans mes reins alors que je connaissais un orgasme dont la bouche pompeuse as­pirait et avalait le jaillissement crémeux.  Déjà une autre bite prenait dans mon cul la place de la premiè­re. Il y en eut au moins six, Après je cessai de compter.

Puis je fus cruelle­ment fouetté, sur mon cul coupable d'avoir absorbé toutes ces queues. Mais je sa­vais qui me flagellait avec une violence ra­geuse. Mon Maître me punissait par où j'avais péché.

Sam 26 jan 2008 Aucun commentaire