LE mois dernier, un copain m'a demandé de lui présenter mon épouse, car l'ayant aperçue en ville, il l'avait trouvée très sexy.
J'acceptai, histoire de tester le comportement de ma femme dans une situation donnée. Je fus très surpris par sa réaction qui alla très loin, ce qui changea toute ma vie.
Ma femme est mon copain m'ont attaché et ont fait l'amour ensemble devant moi. Ma femme me nargua et m'humilia, la séance se termina par une saillie imposée par ma femme.
J'ai été enculé par mon pote ! Je me suis comporté en mari complaisant et me suis plié a toutes leurs exigences. Comment un homme sans problème comme moi, peut il être amené à se soumettre de la sorte ? Tout simplement parce que c'est terriblement bandant !
Mais les choses n'en sont pas restées là !
Un soir, ma femme me dit que mon copain avait téléphoné pour qu'elle aille lui vider les couilles. Je la regardai d'un drôle de regard, c'est alors qu'elle s'approcha de moi, m'attrapa par les couilles à travers mon pantalon et me les broya en me disant qu'elle aimait me voir cocu. Puis elle ajouta :
- Je te laisse pour aller goûter a cette merveille qu'il a entre les jambes, et si tu t'avises de refuser, je vais te couper les tiennes.
Je la conduisis en voiture devant chez son amant. En sortant de la voiture, elle me dit :
- Je vais bien garder le foutre de ton pote dans la chatte et te le faire bouffer en rentrant !
Le soir mon copain raccompagna ma femme.
- J'espère que vous vous êtes régalés dis-je. Mon copain répondit :
- Oui, super, mais j'ai encore assez de foutre pour sauter ta femme dans le lit conjugal. Tu vas assister, les pieds attachés au lit.
Ma femme me fit mettre à poil. Lorsque ce fut chose faite, j eus droit à des regards ironiques et des remarques désobligeantes sur mes parties. Je dus assister à leur coït, lorsque ma femme dit tout à coup:
- Je veux que ma salope de mari te lèche les couilles et le cul, détache-le !
Je me suis exécuté comme la vraie salope que je suis. Ma femme exigea alors que je demande moi-même à genoux à mon copain de m'enculer. Je le lui demandai. Il sortit alors son chibre qu'il me donna à sucer avant. Je fus ensuite sodomisé sans ménagement, ce qui ne m'empêcha pas de remercier sincèrement mon fouteur.
La semaine suivante, ils m'emmenèrent dans une boutique S.M. à Paris. Ma femme demanda un pantalon en simili-cuir avec les fesses découvertes pour recevoir des corrections, fesses à nu. Elle demanda aussi des menottes, fouets, cravache, etc.
Mon copain demanda :
- Peut on essayer ces accessoires ? Le vendeur nous emmena dans l'arrière-boutique. J'enfilai le pantalon qui me seyait bien. On m essaya aussi les menottes. C'est alors que ma femme essaya les fouets et autres engins de torture, afin de faire son choix. Elle osa même demander au vendeur si cette scène ne lui donnait pas envie de jouir. Il fit signe de la tête et ouvrit sa braguette pour sortir une queue bien grosse mais assez longue. Ma femme proposa à ce jeune mâle m enculer. Il refusa, mais ajouta :
- Je vais prévenir le patron, il aime se faire un client de temps en temps, surtout devant sa femme. Moi, je prefère me masturber en matant la scène !
Le patron nous fit des compliments sur notre manière d'opérer, mais qu’elle manquait un peu de fermeté. Avec un grand martinet, il me fit mettre à genoux et me frappa jusqu'à ce je dise que j étais sa chienne, et qu’il était mon dieu salaud.
Je m'effondrai mollement. C'est alors qu'il dit :
- Il est à point !
Je répondis.
- Je vous en prie, enculez-moi, je suis votre pute, asservie à votre verge !
Mon cul fut présenté au mâle en rut qui me fit sucer sa tige. Puis il décida que je serai enculé à sec.
Je me cramponnai. Ma femme et mon copain me maintenaient pour ne pas que je m écarte de cette pine de cheval qui alla bien jusqu au fond de mon trou, ses couilles me battaient rudement les fesses. Il décula en me faisant un mal terrible dû à son gland bien plus gros que le reste de la pine. Je me précipitai aussitôt à ses genoux pour le remercier en ajoutant :
- Je serai la pute servile de tous les mâles qui voudront bien m enculer.
On me remit dans la voiture, mais je ne pouvais plus m'asseoir.
Arrivé à la maison, je fus autorisé à ma masturber devant ma femme et son mec. J'éjaculai un grand flot de foutre.
- Regarde, fit ma femme, tout le sperme que cette pute à fabriqué sous la contrainte ! Salope ! Tu vas lécher toute cette sale purée produite par ta servilité !
Quel heureux bouleversement, dans ma vie tranquille !
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